Notre peau est composée de plusieurs épaisseurs. Des couches de
tissus. Elles sont les premières à être impactées quand il nous arrive quelque chose.
Par exemple : je suis rouge comme une tomate tellement je suis en colère.
Je suis verte ou blanche à cause d’un plat que je ne digère pas. Je suis
amoureuse : je pique un coup de chaud dès que mon amoureux entre dans la
pièce. Mon corps dégage une température, ma peau réagis à mes émotions. Bonne
nouvelle : je suis vivante !
Qu’est-ce qui fait pleurer les êtres ? Une glande ? On a les
glandes, alors on pleure. C’est très facile ce que je viens d’écrire n’est-ce
pas ? Bon alors laissons pleurer nos glandes et accueillons quelques
émotions. Laissons déborder notre liquide lacrymal. Faisons rouler nos larmes
sur nos joues. Larmes de tristesse, d’allergie, d’amour mais surtout pleurons
de rire ! Notre peau s’assèche de jour en jour, alors s’il vous plaît
faites entrer les larmes de rire ! Ouvrez les vannes ! Envoyez les
blagues ! Et réhydratez votre peau.
Imaginez le parcours d’une larme. Quelque chose vient vous stimuler au
niveau du système nerveux. Une émotion. Elle déclenche une réaction. Mais en
attendant de sortir surfer sur votre joue, la larme est contenue, retenue dans
un canal plus large que les autres, et situé à côté du nez. Une fois le système
nerveux excité et l’émotion présente, la larme empreinte un chemin moins large,
elle est compressée et stressée ! On lui demande d’être hyper productive, de
mincir pour passer en un point minuscule avant d’atteindre un autre canal, plus
haut pour enfin toucher à son but : la sortie, le jour, la liberté. Je
vous assure qu’une vie de larme n’est pas de tout repos. Alors si vous avez la
chance de pouvoir pleurer, dites vous bien que c’est un don.
Imaginons maintenant une larme retenue dans le premier canal.
Vous recevez une nouvelle qui excite votre système nerveux, elle vous
met mal à l’aise. Vous avez chaud. Vous vous sentez mal et vous avez envie de
pleurer. Ce n’est ni le lieu ni le moment pour pleurer. Vous vous retenez de
pleurer. Le canal est plein à craquer de larmes retenues. Les petits canaux
s’assèchent, vos yeux clignent mais n’humidifient rien. Ils clignent de plus en
plus souvent. Cela finit par être irritant.
Pouvez-vous imaginer maintenant, ce que retenir une émotion ou des
tensions répétées au quotidien au travail, ou en famille, peuvent avoir comme
conséquences sur votre organisme ? Perte de cheveux, irritabilité, maux de
tête, mâchoires serrées, gorge sèche, du mal à respirer calmement, des maux de
ventre, des crampes, et puis ça commence à gratter ici et là sur votre peau.
Pas de pot pour cette jolie peau !
Mieux qu’un long discours nous avons mis au point avec le Dr Jean-Luc
Haziza, dermatologue, une journée de formation en entreprise pour aider les
salariés à mieux gérer la souffrance au travail et ses conséquences sur le
corps. Cette journée s’appelle « Le corps au service de l’esprit ». Pour plus de renseignements n'hésitez pas à nous contacter.Dr Jean-Luc HAZIZA :
01 43 45 11 92 - 06 62 33 46 83
jlh@jlh-energie-formation.com
Léa STANISLAS : Sophrologue Certifiée RNCP
06 16 66 23 44
leabencoil@yahoo.fr
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