Que pourrions-nous dire ? #STOPVOG

Que pourrions-nous dire aux femmes qui n’osent pas encore se confier sur les sévices qu’elles ont subis durant leur accouchement ?

En France les violences obstetricales ne sont toujours pas prises au sérieux. Trop rares sont les reconnaissances de mal traitances. Les femmes qui subissent des violences pendant leur accouchement sont souvent traitées de "douillettes" ou de "capriceuses" parce qu'on ne les a pas laissé accoucher comme elles voulaient OU parce qu'elles devraient ne pas oublier une chose : on leur a quand même sauvé la vie ... j'ai trop souvent entendu ce discours. Je sais qu'il existe des violences obstetricales et je crois toutes ces femmes qui m'ont raconté leur calvaire. Toutes : sans exception. Je ne peux que vous encourager, mesdames, à partager votre histoire d'une manière ou d'une autre. Un récit, un audio, une lettre envoyée à une personne de confiance, une thérapeute, une lettre brûlée, parlez, parlez, ne jamais se taire ! J'encourage toutes les personnes touchées par ce sujet ou intéressées par ce sujet à visiter le site http://stop-vog.fr/ pour vous renseigner, mieux comprendre et protéger nos filles, les générations suivantes de ces paroles et gestes plus qu'inadmissibles ! #stopvog @stop-vog.fr

Vous pouvez aussi choisir de vous faire accompagner pour choisir la méthode d'expression qui vous ressemble le plus : arthérapie, coach, psychologue, psychogenealogue et biensûr sophrologue

Entourez-vous 




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